mardi 18 juillet 2017

Protocoles II, III, et IV des sages de Sion



Protocole 2 : Nécessité des guerres économiques

Protocole 3 : Le cercle du Serpent symbolique

Protocole 4 : L’évolution de la république

Protocole II
01
Aujourd'hui, je commencerai par répéter ce qui a déjà été dit : je vous prie de vous rappeler que les gouvernements et les peuples goyim ne voient que l'apparence des choses. Et comment pourraient-ils s'efforcer de découvrir le sens caché des choses alors que leurs chefs songent par-dessus tout à s'amuser et à jouir des biens matériels ? II nous importe beaucoup de bien tenir compte de ce point. Discutons maintenant des questions concernant le pouvoir, la liberté de parole, la liberté de conscience, le droit d'association, l'égalité de tous devant la loi, l’inviolabilité de la propriété, du domicile, l'impôt, et l'idée d'un impôt secret. Toutes ces questions ne doivent pas être traitées ouvertement devant le peuple ; il ne faut pas davantage énoncer devant lui nos projets. L'importance de cette réticence consiste en ceci qu'en gardant secrets ces principes nous disposons de notre liberté d'action, ce qui nous permet, le cas échéant, d'en exclure, sans qu'on s'en aperçoive, ceci ou cela, tandis que si nous les exposions, il nous faudrait les assumer tels quels.
02
Les peuples ont un profond respect pour ceux qui incarnent la force ; à chaque acte de violence, ils s'écrient « C'est évidemment bien canaille, mais combien habile ! Avec quelle magistrale audace le tour a été joué ! » Nous comptons attirer imperceptiblement toutes les nations à la construction d'une nouvelle Œuvre dont nous projetons le plan et qui comporte la décomposition de l'ordre existant que nous remplacerons par notre règne et ses lois. C'est pour cette raison qu'il faut nous assurer du concours ce cette force qu'est le « je m'en foutisme » de nos agents, les modernes « Premiers » de tous les pays ; c'est cette force-là qui anéantira tous les obstacles sur notre chemin.
03
Quand nous aurons fait notre coup d'État nous dirons aux peuples : « Tout allait très mal pour vous ; vous êtes tous exténués de souffrance. Nous allons supprimer la cause de tous vos tourments, à savoir les nationalités, les frontières et la diversité des monnaies. Certes, ne comprenant pas nos motifs, vous êtes libres de ne pas nous jurer obéissance, mais pouvez-vous le faire avec justice, si vous le faites avant d'avoir examiné ce que nous vous offrons ? » – Alors ils nous porteront en triomphe sur leurs épaules, dans un élan unanime d'espérances. Le vote – dont nous ferons l'instrument de notre avènement, en y accoutumant jusqu'aux plus humbles parmi les hommes, par l'organisation partout où c'est possible, de groupements et d'associations – jouera une dernière fois son rôle, nous rendant un dernier service : la confirmation de nos lois.
04
Mais nous devons auparavant utiliser le suffrage universel, sans distinction de classes ni de fortune, afin d'obtenir la majorité absolue qu'on obtiendrait moins facilement auprès des seules classes intellectuelles et fortunées.
05
C'est ainsi qu'après avoir pénétré chacun de l'idée de sa propre importance, nous briserons les liens de la famille chez les goyim ; nous empêcherons les hommes de valeur de percer ; étant dirigées par nous, les foules ne leur permettront pas de se révéler ; elles prendront l'habitude de n'écouter que nous qui payons leur attention et leur obéissance. Ce moyen nous mettra en mains une force tellement aveugle qu'elle ne pourra se mouvoir dans aucun sens, si elle n'est guidée par nos agents, placés pour diriger les foules, qui sauront que de ces agents dépendent leur gagne-pain, les gratifications et toutes sorte d'avantages.
Protocole III
01
Tenez compte, en appliquant nos principes, du caractère du peuple dans le pays duquel vous agirez ; une application générale, uniforme de ces principes, avant que ne soit faite la rééducation du peuple traité, ne saurait obtenir le succès. En procédant graduellement et avec prudence, vous constaterez, avant dix ans, que le caractère le plus récalcitrant aura changé, et nous compterons un peuple de plus parmi ceux qui se sont déjà soumis à notre idée d'internationalisme humanitaire.
02
Quand nous serons au pouvoir, nous remplacerons les termes de l'appel libéral « Liberté, Égalité, Fraternité », par des formules exprimant l'idée contenue dans ces mou, et nous dirons : « Le droit à la Liberté, le devoir de l'Égalité, l'idéal de la Fraternité », et nous saisirons ainsi une fois de plus la même bête par les cornes. En fait, notre pouvoir a déjà écarté tous les autres, bien qu'il y en ait encore un assez grand nombre qui conservent une apparence d'existence.
03
A l'heure actuelle, si quelques gouvernements élèvent la voix contre nous, ce n'est que pure forme et à notre instigation – parce que leur antisémitisme nous est nécessaire pour dominer nos frères inférieurs. Je ne vous expliquerai pas ceci plus clairement, car ce fait a déjà été pour nous l'objet de nombreuses discussions.
04
Je ne vous signalerai qu'un point, c'est qu'en réalité notre Super gouvernement ne rencontre plus d'obstacle dans les gouvernements des goyim ; il se trouve dans une situation absolument légale connue sous le nom énergique et puissant de Dictature. Je puis vous dire, en toute franchise, qu'actuellement, c'est nous qui sommes les législateurs ; c'est nous qui sommes les juges ; nous infligeons les peines dans les tribunaux des goyim nous condamnons à mort ou nous faisons grâce ; nous sommes comme un commandant en chef chevauchant à la tête de toutes nos armées de libéraux.
05
Nous gouvernons d'une main puissante, parce que cette main tient les débris de partis autrefois puissants, brisés par nous ; elle tient les ambitions démesurées, les ardentes convoitises, les vengeances impitoyables, les haines intenses, – c'est de nous qu'émane la terreur universelle.
06
Nous avons parmi nos agents – conscients et inconscients – des hommes de toutes les opinions : restaurateurs de monarchies, démagogues, socialistes, anarchistes, communistes, et toutes sortes d'utopistes. Nous les avons tous attelés à la besogne : chacun sape de son côté et s'efforce de renverser tout ce qui tient encore debout. Tous les États sont excédés par ces manœuvres ; ils cherchent le pain et sont prêts à tous les sacrifices pour l'obtenir. Mais nous ne leur accorderons ni paix ni trêve tant qu'ils n'auront pas reconnu notre Super gouvernement international ostensiblement et ne lui auront pas fait acte de soumission. Les peuples crient qu'il est nécessaire de résoudre la question sociale au moyen de l’internationalisme. Les divisions des partis nous les ont tous livrés, parce que pour mener une lutte de partis, il faut de l'argent et c'est nous qui avons l'argent.
07
Nous pourrions redouter une alliance de la force plus ou moins clairvoyante des gouvernants goyim avec la force aveugle du peuple, mais nous avons pris toutes les mesures possibles contre pareille éventualité : nous avons élevé, entre ces deux forces, un mur solide de méfiance réciproque. Ainsi la force aveugle du peuple restera notre soutien et nous en serons les chefs, .et nous l'orienterons vers notre but ; c'est pourquoi nos agents s'infiltreront dans le sein même du peuple.
08
Mais quand nous serons un pouvoir reconnu, nous éduquerons le peuple ouvertement sur les places publiques par des conférences sur des sujets politiques, présentés sous un aspect qui nous sera favorable. La parole de notre souverain sera connue dans tous les coins du monde le jour même où elle sera prononcée.
09
Pour ne pas détruire prématurément les institutions des goyim, nous y avons touché d'une main prudente, expérimentée et maîtresse des principaux ressorts de leurs mécanisme. Ces ressorts fonctionnaient autrefois dans un ordre sévère mais rigoureux, auquel' nous avons substitué un désordre libéral, stupide et arbitraire ; nous avons ainsi influencé la juridiction, les lois électorales, la presse, la liberté individuelle et, ce qui est plus important, l'instruction et l’éducation, ces pierres angulaires de la vie sociale.
10
En ce qui concerne l'éducation, nous avons abêti, abruti et corrompu la jeunesse des goyim. Pardessus les lois existantes – sans les changer essentiellement, mais en les déformant par des interprétations contradictoires – nous avons créé quelque chose de grandiose par les résultats prodigieux que nous avons obtenus.
11
Ces résultats se sont manifestés en ce que les interprétations masquèrent les lois et finirent pas les cacher entièrement aux yeux des gouvernements incapables d'appliquer un Code aussi confus, d'où les verdicts rendus d'après la conscience.
12
Vous objecterez qu'il y aura contre nous des soulèvements armés si nos plans sont découverts prématurément ? En prévision de cette éventualité, nous avons en réserve un moyen pour ne rien laisser subsister des capitales, que nous ferons sauter avec leurs organisations et leurs documents.
Protocole IV
01
L'intensification des armements et l'augmentation des cadres de la police sont des éléments indispensables à la réalisation des plans ci-dessus exposés. II faut qu'en dehors de nous, il n'y ait plus dans tous les États que des masses prolétaires, quelques millionnaires qui nous soient dévoués, des policiers, des soldats et un gouvernement de notre fabrication.
02
Pour obtenir ce résultat dans toute l'Europe et, avec son concours, dans les autres continents, nous devons provoquer l'agitation, la discorde, l'hostilité et la haine : II y a à cela un double avantage : d'abord nous tenons en respect tous les pays qui savent bien que nous avons le pouvoir de créer chez eux des soulèvements ou de restaurer l'ordre à notre gré. Ils sont accoutumés à voir en nous la force indispensable qui écrase. Nos intrigues dans la politique mondiale ont embrouillé tous les fils qui relient entre eux les ministères des différents États et cela au moyen de traités économiques et d'engagements financiers. Pour atteindre ce but, il nous a fallu faire preuve d'une grande ruse et de beaucoup d'obséquiosité au cours des pourparlers et des négociations ; mais dans ce qu'on nomme « la langue officielle » nous fûmes obligés de prendre un air conciliant et honnête. Aussi les goyim – que nous avons habitués à n'apercevoir que le côté apparent des choses que nous leur présentons – nous prennent-ils pour des bienfaiteurs et des sauveurs du genre humain.
03
Nous sommes prêts à répondre du tac au tac à toute opposition qui surgirait contre nous dans un pays quelconque en faisant éclater une guerre entre lui et ses voisins, et si plusieurs pays projetaient de s'allier contre nous, nous déchaînerions une guerre mondiale et nous les pousserions imperceptiblement à y prendre part
04
Le succès capital en politique est assuré par le secret des entreprises. Les actes d'un diplomate ne doivent pas correspondre à ses paroles.
05
Nous avons déjà maintes fois contraint les gouvernements des goyim à faire la 'guerre au moyen de la soi-disant opinion publique, après avoir préparé nous-mêmes cette opinion en secret. A l'un des gouvernements, nous avons déjà plusieurs fois montré notre force par des attentats terroristes et nous répondrons à tous, s'ils se soulèvent contre nous, par les canons américains, chinois ou japonais, qui sont entièrement à notre disposition.