mercredi 8 mai 2013

Mafia islamiste et trafic d’organes humains



Savez-vous que la guerre, menée par la mafia islamiste contre la Syrie, vient de se doter d’une nouvelle facette d’activités dites commerciales et qui est la vente d’organes humains ?
La première fois ce genre de commerce aurait vu le jour en ex-Yougoslavie. Le trafic a été dénoncé par le député européen de l’époque, le suisse Dick Marty, qui a démissionné de ses fonctions bruxelloises peu de temps après. On y faisait part des atrocités commises par les Kosovars contre les soldats serbes dépecés tout en restant en pleine conscience.
On enlevait aux victimes le cœur et les entrailles de leur vivant ce qui semble être particulièrement viable sur le plan chirurgical. Il paraît que la transplantation est encore mieux réussie si le donateur est en vie : cela fait augmenter les chances de la bonne adoption du tissu implanté chez le client. Et voilà que plusieurs agences de presse internationale témoignent que les mêmes crimes sont commis en Syrie.
Les Kosovars sont ici remplacés par les djihadistes sunnites, et les victimes sont soit les Syriens de tout âge et de toute confession, soit les djihadistes eux-mêmes lorsqu'ils sont morts. Quand un djihadistes non Syrien meurt au combat, sa dépouille est immédiatement récupérée pour être vendue en « pièces détachées ». Quant aux Syriens et aux Syriennes, qu’ils soient attrapés morts ou vifs, on récupère sur leur corps tout ce qu’il est possible de récupérer.

La même chose s’était passée en Libye


Il y a eu des enlèvements de jeunes gens à Misrata. On avait commencé par dire que ces jeunes gens étaient partis en bateau vers l’Italie, mais c’était impossible, compte tenu du nombre très élevé des disparitions et de la petite taille des barques. En fait, des enlèvements étaient organisés par les milices islamistes pour récupérer et vendre les organes de ces jeunes gens.
En 2009, un article du tabloïd suédois Aftonbladet, intitulé « Nos enfants sont dépouillés de leurs organes » accuse Tsahal de couvrir un trafic d'organes prélevés sur des Palestiniens. Cet article avait suscité la colère du gouvernement israélien et avait causé un malaise diplomatique entre la Suède et Israël qui a demandé une condamnation officielle de l'article, une demande rejetée par le gouvernement suédois qui a manifesté son « attachement à la liberté de la presse ». Au cours de la polémique créée par l'article, un médecin israélien, le docteur Jehuda Hiss, qui fut responsable de l'institut médico-légal israélien Abu Kabir, près de Tel Aviv, a révélé que l'armée israélienne a opéré des prélèvements d'organes sur les corps de Palestiniens ainsi que de soldats et citoyens israéliens, et de travailleurs étrangers sans aucune permission de leurs familles. Des spécialistes ont prélevé de la peau, des cornées, des valves cardiaques, et des os. «Nous fermions les paupières avec de la colle (…) nous ne prenions pas de cornée quand nous savions que les familles ouvriraient les yeux» a-t-il expliqué. L'État d'Israël a admis par la suite avoir entretenu, dans le passé, un programme de prélèvement d'organes sur des palestiniens morts sans le consentement de leurs familles mais a indiqué que ces prélèvements auraient cessé en 2000. En 2010, six Israéliens, parmi lesquels un général de brigade en réserve de l'armée israélienne, Meir Zamir, 62 ans, vétéran médaillé de la guerre du Kippour, et deux avocats ont été arrêtés pour trafic d'organes et fraude. On a même arrêté cinq rabbins impliqués dans le trafic d'organes.
Mais ne soyons pas naïfs : ce trafic d’organes existe dans toutes les zones de guerre. A chaque fois qu’une guerre est terminée et que l’on peut mener des investigations à terme, on découvre que cela a eu lieu. Ce qui est révoltant, c’est que les maffias islamistes et les autres maffias ont érigé cette pratique en une industrie à grande échelle.

La même chose se passe en Palestine. 


... Et au Brésil aussi


Gedalya Tauber, un ex-officier israélien de 77 ans à la tête d’un trafic international d’organes humains a été arrêté jeudi 6 juin 2013 à l’aéroport Leonard de Vinci de Rome. L’homme était recherché depuis octobre 2010. Il était recherché par toutes les polices du monde et fiché par Interpol. Cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël. Israélien résident au Brésil, Gedalya Tauber avait été arrêté en 2010 pour trafic d’organes, avec son partenaire Eliezer Ramon et six autres Brésiliens. Considéré comme le cerveau du trafic d’organes entre le Brésil et Israël, il organisait des opérations à l’hôpital de Sainte Augustine de Durban, en Afrique du Sud. Son groupe payait entre 3.000 et 10.000 dollars pour un rein, qui était ensuite transplanté à l’acheteur. Chaque opération chirurgicale générait, pour un rein, une somme de 150 000 dollars américains, somme ensuite redistribuée aux membres de l’organisation criminelle. Tauber s’occupait aussi bien de trouver les donneurs que les bénéficiaires, ces derniers tous Israéliens. Selon les médias il aurait organisé plus de 35 opérations illégales dans l’hôpital de Sainte Augustine. Gedalya Tauber a aussi été chef de la police de Tel Aviv et, surtout, c’est un survivant de l’holocauste.  
 

Le marché cible

Tout d'abord, rappelons que le commerce d'organes humains est illégal dans tous les pays, mais cela n'empêche pas un énorme marché noir de prospérer en Israël, en Turquie, en Égypte, en Europe et aux États-Unis. Dans ces pays, chaque année, 150.000 personnes se joignent à la liste d'attente pour un cœur, un rein ou un foie ; et près de la moitié meurent avant qu’un nouvel organe compatible puisse être trouvé. Les malades fortunés peuvent devenir désespérés et peuvent alors recourir à toutes sortes de pratiques illicites. Ils sont prêts à payer des fortunes pour échapper à la mort. Le commerce d'organes est devenu un marché noir extrêmement  lucratif pour les maffiosi. La mafia islamiste s’y est engouffrée sans états d’âme.

Premier cas : vous êtes vivant

Vivant, votre corps est là et il travaille pour vous, pour le meilleur et pour le pire. Mais, en ce qui concerne la vente d’organes, il ne peut vous rapporter que des clopinettes. Si vous avez les cheveux longs et en bonne santé, vous pouvez les vendre à un perruquier professionnel. En moyenne, 30 cm de cheveux vous rapporteront  50 €, ce qui n'est pas beaucoup, compte tenu des centaines de milliers de perruques de cheveux humains vendues. Curieusement les rousses se vendent plus cher que les blondes, lesquelles sont plus chères que les noires. Il y a aussi une forte demande de sang : vous pouvez gagner de 15 € à 50 € par litre. La moelle osseuse peut également être vendue et le processus d'extraction n'est pas aussi douloureux que cela puisse paraître. Si vous êtes sélectionné comme un donneur génétiquement compatible avec un patient, vous pouvez gagner jusqu'à 2500 €. Les dons de sperme et d'ovules sont un autre moyen de gagner de l'argent, mais en général, il n'y a que les très hommes très performants, et les femmes super canons qui peuvent espérer gagner beaucoup d'argent pour ces « dons » rémunérés. Cela comporte cependant des risques car, dans de nombreux pays, l'enfant conçu a le droit de porter votre nom, et il pourrait, un jour, obtenir vos coordonnées et venir taper à votre porte à un moment inattendu. S’il y en a vingt ou trente, vous serez dans la mouise. 

Ajout du 16/12/2013: 
Maintenant, si vous êtes un(e) adolescent(e) syrien(ne), votre corps vaut 9.000  Dollars en Arabie Saoudite, pour servir d'objet sexuel aux riches et vieux lubriques du coin.

Une petite annonce de vente de petites filles syriennes a été publiée dans la capitale saoudienne avec un prix de 10.000 ryals saoudiens (presque 9000 dollars). Il s’agit d’un commerce lié à la crise vécue par la Syrie depuis un mars 2011 et qui est interprété par des activistes saoudiens comme l’exploitation de la misère des réfugiés syriens. Ils ont aussi signalé que les petites sont victimes d’hommes riches saoudiens qui tirent avantage des familles syriennes pauvres sans foyer. Le nom de Majed est apparu dans les médias il y a quelques mois, il s’agit d’une femme active sur les camps de réfugiés de Jordanie qui dit être agent matrimonial, mais qui, en réalité, vend des petites filles syriennes aux riches qui en offrent le prix le plus élevé.
Pour beaucoup de familles qui vivent dans les campements de réfugiés en Jordanie, la vente de leurs filles est l’unique manière de survivre. "J’ai un saoudien de 70 ans qui veut se marier avec une fille qui n’a pas plus de 13 ans: qui parmi vous est intéressé? ", tel était le propos de Majed qui a été entendue par un journaliste allemand. Le reporter a expliqué que la demande d’achat des jeunes syriennes est très grande et que la condition de vie est chaque fois pire pour les réfugiés. teleSUR-hispantv.com-joarmaz.blogspot.com/kg

Deuxième cas : vous êtes mort

Nous n’allons pas discuter ici de la destinée de votre âme, mais uniquement de votre corps.  L'ironie de la situation vient du fait que votre corps vaut beaucoup plus cher mort que vif. Certes, vous pouvez gagner un peu d’argent en faisant don de votre corps à la science à des fins de recherche, mais le marché noir donne, de loin, des rendements plus élevés. Les islamistes l’ont vite compris, Lors des guerres de Bosnie, de Tchétchénie et du Kosovo, on vendait les corps « frais », c’est à dire encore vivants ou récemment tués, à des « cliniques » spécialisées qui en tiraient les organes utiles, c'est-à-dire vendables à bon prix. Le même procédé a lieu de nos jours en Syrie, où la matière première est abondante. D’abord il y a les jeunes prisonniers syriens, qui sont généralement, soit des soldats prisonniers de guerre, soit des civils kidnappés. On a vu que les jeunes femmes et les jeunes filles sont vendues aux émirs du pétrole pour plusieurs millions de dollars l’unité. Il y a ensuite les « djihadistes » morts, qui sont tous jeunes et en bonne santé, et dont les organes sont immédiatement prélevés, « tant que le corps est chaud », car les organes d’individus jeunes et en bonne santé se vendent plus cher. Un djihadiste tunisien, acheté à 20.000 dollars à Tunis, pourra rapporter, une fois mort, jusqu’à  un Million de dollars, soit 50 fois la mise de départ. On comprend l’intérêt financier de cette opération pour la maffia islamiste tunisienne. Lorsque le Qatar leur verse 1 million de dollars, on  sait donc que cela correspond à 50 corps de djihadistes tunisiens. Le Qatar ne fait jamais de cadeaux. Sauf des cadeaux empoisonnés.

Les tarifs des organes humains

Les organes humains valent d'énormes sommes d'argent sur le marché noir à destination des hôpitaux israéliens, turcs, égyptiens, américains et européens. Des hôpitaux et des cliniques privées, dans lesquels opèrent des « docteurs Frankenstein », sont prêts à payer des montants à six chiffres pour un rein ou un cœur. Il y a toute une industrie d'intermédiaires -pour une grande part aux mains des maffias- qui va s’octroyer les bénéfices. En plus des bénéfices prélevés par ces maffias, il y a aussi des dépenses considérables en matière d'administration, de permis (il faut acheter des complicités douanières, policières, politiques, économiques, etc.), de transport et de réfrigération. 

Où pratique-t-on les prélèvements ?

Les hôpitaux de campagne dressés par Ankara, sur les frontières avec la Syrie, où les médecins turcs et français prétendent soigner les blessés, sont devenus le carrefour du trafic d'organes, selon Barkat Ghares, auteur et analyste turc. "Un réseau composé de médecins de plusieurs nationalités s'occupe à entretenir ce terrible trafic et beaucoup de médecins turcs se trouvent, au sein de ce réseau". Selon cet auteur, le trafic d'organes n'est pas chose nouvelle, en Turquie, et le régime sioniste s'implique aussi à fond, dans ce commerce terrifiant". "Ces réseaux se sont activés, depuis le début des violences, en Syrie, sur les frontières turco-syriennes". En Turquie, l'association des médecins a ouvert une enquête, à ce sujet, et a, déjà, identifié six médecins turcs impliqués dans ce trafic d'organes. Ces médecins ont été radiés et leur diplômes, annulés. Dix autres médecins turcs devront comparaître devant la Cour, pour le même chef d'accusation. Mais cela n’est que la face émergée de l’iceberg. Pour un médecin arrêté, il y en cent qui continuent tranquillement leur sale besogne.

La mafia turque

Sur le terrain syrien, les trois mafias opérationnelles sur le terrain sont la mafia arabo-islamiste, la mafia juive et la mafia turque. La mafia islamiste fournit la matière première : les corps humains. La mafia turque s’occupe du reste : charcutage, emballage, expédition, livraison. La mafia juive (israélienne, américaine et judéo-turque) s’occupe du marketing et de la commercialisation dans le monde occidental.
La Turquie est un pays dont la situation géographique en fait un point de passage obligatoire pour des narcoroutes caucasiennes et asiatiques. La mafia turque moderne date des années 1940 avec l'explosion du trafic de stupéfiants provenant d’Afghanistan et d’ailleurs en Asie. Elle entretient des liens très profonds avec les organisations nationalistes turques des "Loups gris" et kurdes du PKK. On recense 44 gangs de grande envergure en Turquie, dont un grand nombre à Istanbul. Le chef d'un gang est appelé le baba (papa). La mafia turque est très présente en Angleterre (aux côtés de la mafia arabo-islamiste), en Allemagne, en Espagne, en France (quartier de Strasbourg-Saint-Denis à Paris) et aux Pays-Bas. Parmi ses activités majeures on recense le trafic de drogues, d'êtres humains, d'organes et d'armes, ainsi que le racket et les jeux. Aujourd'hui, la mafia turque aurait un chiffre d'affaires annuel d'environ 60 milliards de dollars, ce qui représente la moitié du budget de l'État en Turquie. La mafia turque est présente dans toutes les sphères de la société turque : politique, justice et même football.
L’incroyable complicité des autorités turques en la matière, pourtant promptes à se définir comme le garde-fou moral de la société, nous rappelle le comportement des autorités tunisiennes actuelles.

Conclusion

Comme nous le voyons, la contrebande du corps des victimes par les milices islamistes en Syrie est d’autant plus tangible qu’elle semble suivre le même scénario que celui de la Libye ou du Kosovo. La guerre en devient là encore plus macabre et diabolique. Je dirais même qu’il s’agit d’une montée aux extrêmes avec l’apothéose de l’indicible. La bonne vieille expression la « chair à canons » en acquiert un sens doublement atroce. Qui plus est, ce genre d’affaires « profite » à tous : non seulement on tue comme à l’abattoir à grande échelle, mais en plus, on fait disparaître les corps des victimes rendant l’opération parfaitement rentable. Les organes vont aux consommateurs occidentaux et les États occidentaux écoulent leurs stocks d’armements contre les fonds gagnés par les bandits du dépeçage. D’après les données citées par la presse, la mafia islamiste vend à la mafia turque un cadavre à 150 dollars. Le chiffre est dix fois supérieur (1500 dollars) si elle lui vend une personne encore en vie, car les organes seront plus frais à la livraison. 

Sans parler de "la traite des blanches", ces filles recrutées pour travailler, gratuitement, à "la chaîne" dans  les bordels djihadistes en Syrie. Chaque fille recrutée en Tunisie rapporte 20.000 Dollars entre le mac islamiste intermédiaire ainsi qu'à l'imam concerné par ce recrutement. La fille n'en voit rien, elle a juste une promesse d'accéder au paradis d'Allah, une fois morte et enterrée.

Donc ceux qui, de nos jours, supportent les soi-disant rebelles syriens, dont les gouvernements américain, israélien, français, turc, saoudien, qatari et tunisien,  sont les complices actifs et conscients de ces horribles crimes. Il n’y a pas, il n'y aura pas, de prescription pour ces crimes de guerre et pour ces crimes contre l’Humanité. 
Hannibal GENSERIC