mercredi 14 septembre 2016

Pour Hillary, le massacre des chevaux rapporte gros



Un rapport absolument choquant du Comité d'enquête (SLEDKOM) circulant dans le Kremlin d'aujourd'hui dit que Hillary Clinton s’est arrangée pour empocher des millions-de-dollars après que le régime Obama a ordonné, la semaine dernière, l'abattage immédiat de tous les chevaux et baudets sauvages qu'ils détiennent en captivité ( au nombre de 45.000) qui sont actuellement parqués et gérés par le Bureau of Land Management (BLM).

Selon ce rapport (et comme nous l'avions déjà rapporté), les enquêteurs de SLECKOM ont découvert les liens d’Hillary Clinton avec le commerce international  du cheval de boucherie à travers l'examen de ses documents comptables trouvés chez les services financiers du géant américain basé à Moscou,  PricewaterhouseCoopers (PWC), lors d’un raid en Juillet sur leur siège à Moscou, et qui gèrent le blanchiment d'argent des Clinton.

Les "fichiers / documents" spécifiques de PWC reliant directement Hillary Clinton au commerce international de chevaux de boucherie montrent que des millions-de-dollars de paiements ont été effectués aux puissantes entreprises de lobbying américaines Hogan Lovells Global Lawyers, Akin Gump Strauss Hauer & Feld LLP et McGuirewoods Consulting LLC par le gouvernement japonais. Ces millions ont ensuite été transférés à la Fondation Clinton (que le Congrès américain a déposé des accusations contre elle, en  l'appelant «une entreprise corrompue et sans foi ni loi") à partir de ces trois firmes de lobbying qui sont largement connus comme étant les  "fardeleuses clinton", une fardeleuse est  une machine à grouper de petits colis pour en faire un seul plus aisé à manipuler. 

Pour savoir pour quelle raison le gouvernement japonais a payé des millions de dollars à ces trois "fardeleuses Clinton", il faut rappeler qu’en Novembre 2011, la secrétaire d'État Hillary Clinton avait réussi à annuler un amendement empêchant l'abattage des chevaux en Amérique.  Et le Japon avait besoin lever cette interdiction, car il manque sévèrement de la sécurité alimentaire, et il importe 60% des calories consommées au sein de ses frontières, et qu’il subventionne fortement le reste de sa production nationale.
Immédiatement après qu’Hillary Clinton a réussi à permettre à nouveau d'abattage des chevaux  aux États-Unis, elle a ensuite permis le transport de dizaines de milliers de chevaux sauvages sous la garde de la BLM vers le Mexique, ce qui a été documenté par l'organisation Animals Angels qui a posté des vidéos de cette action méprisable non seulement contre ces animaux majestueux, mais aussi contre le peuple américain.
Après la découverte de cette opération choquante d’Hillary Clinton, consistant à envoyer ces chevaux américains sauvages au Mexique afin qu'ils puissent être abattus et mangés par les Japonais, le régime Obama-Clinton a commencé à envoyer ces beaux animaux au Canada où ils ont ensuite été emprisonnés dans des conditions horribles pour les dernières heures de leur vie avant d'être envoyés par avion au Japon pour y être abattus. Un commerce scandaleux mais extrêmement lucratif, et dont le Chiffre d'Affaires a  augmenté de 560 pour cent, entre 2012 et 2013.
Chevaline sushi
Comme la viande chevaline est peu réglementée, car ces animaux sont classés comme «animaux de compagnie» et non comme «bétail», les médicaments (antibiotiques, anti douleur, etc.) qui leur sont fréquemment administrés, passent dangereusement dans l’organisme de ceux qui mangent cette viande. Ceci est volontairement ignoré au Japon, où le sushi de viande de cheval est devenu la mode, et est appelé basashi ou sakura niku (viande de cerisier) en raison de sa couleur rose. Il est considéré comme une délicatesse.

Quel est le problème posé par les mustangs ? 

C’est bien simple : ces animaux vivent pour la plupart sur des terrains appartement au domaine public… mais comme bien des choses en ce monde, il faut en tirer du profit, du bénéfice, et ce qui ne rentre pas dans les cases est considéré comme une chose « nuisible », qu’il convient d’éliminer !
 
Le problème du massacre systématique des populations de chevaux sauvages par les industriels de la viande est largement méconnu du grand public, et pour cause : peu de gens en parlent.  Récemment, un cabinet d’étude du Bureau of Land Management (Bureau de gestion du territoire, abrégé sous le sigle BLM) a voté récemment la décision de supprimer les derniers mustangs d'Amérique du Nord. Toujours à l’affût des opportunités d’amasser des millions dollars, et malgré sa maladie, Hillary Clinton  n’a eu aucun scrupule  pour en profiter.
Le BLM est un organe qui dépend directement du Département de l’Intérieur des États-Unis, et sa tâche consiste principalement à gérer les terrains publics. Ce massacre à grande échelle aura pour but de faire de la place pour des super-fermes d’élevage bovin, à très haut rendement, s’étalant sur des kilomètres.
Tandis que les barons de l’agro-business se frottent les mains, les défenseurs de la cause animale sont atterrés et consternés par cette décision, et tentent par tous les moyens de trouver une autre alternative afin d'empêcher cela. 
Les animaux sauvages qui vivent dans ces plaines sont « payés » par les chasseurs qui les abattent, à travers leurs licences de chasse qu’ils doivent renouveler chaque année. La place occupée par le bétail est « payée » par les industriels de la viande : 1,35 $ (environ 1€ 20) par tête de bétail, pour pouvoir paître sur des terres appartenant au domaine public.
Mais qui paye pour les chevaux sauvages ? Personne. 
Ils prennent juste de la place, ne rentrent dans aucune case, et pire : ne rapportent d'argent à personne. En Amérique, c’est scandaleux !
De la même façon que les chevaux mustangs se sont adaptés au climat des grandes plaines d’Amérique du Nord, on trouve également des baudets sauvages, eux aussi d’anciennes bêtes de somme affranchies de la domestication humaine. Les Américains appellent ces ânes sauvages les « burros », du mot espagnol qui signifie tout simplement « âne ».
D’ailleurs, l’histoire des mustangs aux États-Unis est une vieille histoire sanglante, entachée de plusieurs massacres, et qui se prolonge jusqu’aujourd’hui dans une polémique sans fin sur la légitimité ou non de la présence de ces chevaux libres dans les terres publiques.
C’est ainsi que dans les années 70, il ne restait plus que 270.000 mustangs sur les 2 millions du siècle précédent, ce qui pourrait s’apparenter, en termes humains, à un véritable génocide.
En 1971 est votée une loi fédérale censée protéger le mustang et interdire sa chasse… Malheureusement, il semblerait que le BLM (ou, plus exactement, Obama-Clinton) ont décidé de revenir sur cette loi afin d'en tirer un profit maximal.