mercredi 20 juillet 2016

Une armada massive se dirige sur la Turquie pour l'attaquer



Un rapport sombre du Conseil de sécurité (SC) circulant dans le Kremlin d'aujourd'hui indique que l'Agence fédérale pour le transport aérien (Rosaviatsiya) a  interdit à tous les citoyens russes de se rendre à la République de Turquie après que le ministère de la Défense (MoD) a rapporté que deux armadas navales US-OTAN opérant actuellement dans la mer noire ont combiné et mis les voiles vers les eaux territoriales Turques  en vue d'attaquer la Turquie, et qui comprend 14 navires de guerre turcs  déclarés "disparus" de leur flotte par le gouvernement de Turquie.
Selon ce rapport, au moment de l’échec du coup d'Etat US-CIA du 15 Juillet contre le président turc Recep Tayyip Erdoğan (et contre lequelle Mod avait mis en garde en Décembre), deux flottes navales des États-Unis et l'OTAN menaient les exercices de guerre dans la Mer Noire, d'une échelle sans précédent, le premier étant désigné comme Black Sea Breeze, et le second Sea Breeze 2016.
Ce rapport note que le ministère de la Défense avait longtemps averti que  ces navires de guerre US-OTAN ont été prévus, en réalité, pour soutenir la tentative de coup d’État manqué contre le gouvernement démocratiquement élu de Turquie. Ce qui a été confirmé tôt ce matin, lorsque ces manœuvres "planifiées" depuis un certain temps, viennent d’être annulés, et que les navires ont commencé de se déplacer en formation de combat vers  les eaux turques. 
 
Ce rapport indique, en outre, que le prétexte  à donner aux peuples occidentaux pour ces attaques en force de l’US-OTAN contre la Turquie est que le régime Obama a pour objectif de protéger ses 90  bombes nucléaires B61, stockées à la base aérienne d’Incirlik en Turquie.  Ces bombes sont stockées dans des coffres-forts inviolables, enterrés sous un plancher à l’épreuve des bombes, et à l'intérieur d'un périmètre de sécurité. Ce périmètre de sécurité est actuellement encerclé par les forces militaires turques fidèles au président Erdoğan,  les Occidentaux estiment donc que ces bombes nucléaires ne sont " plus en sécurité".
La Turquie, désormais, blâme  ouvertement les États-Unis pour la tentative de coup d’État. Elle lui a présenté des preuves prouvant que c’est bien "la figure de proue et marionnette» de la CIA, Fethullah Gülen, qui est le principal responsable de cette tentative de Coup. Le président Erdoğan effectue une purge massive de  plus de 50.000 soldats, policiers , juges, fonctionnaires et enseignants (tous ceux qui ont été suspendus ou détenus) ayant tout type d'association avec les États-Unis. Tout ceci a alarmé le régime Obama qui a donc décidé de passer à l’offensive.
De même, le régime Obama craint que les Turcs ne soient plus freinés (par les Américains et l'OTAN) dans leurs  bombardement contre forces kurdes, soutenues par des forces américaines en Irak,  bombardements qui ont déjà commencé il y a quelques heures .
Quant à savoir dans quel délai cette énorme armada US-OTAN va frapper la Turquie dans le but réel d'éliminer le président Erdoğan une fois pour toutes, les analystes du renseignement russe, dans ce rapport, ne le disent pas. Ce Coup d’état a été, depuis longtemps, soutenu par les États arabes sunnites de la région. Un officiel Saoudien haut placé  a révélé que de hauts responsables gouvernementaux de Riyad et d’Abu Dhabi ont été informés par le régime Obama du coup d’État bien avant qu'il n’ait lieu.
Bien que ne connaissant pas la "phase finale" de cette dernière catastrophe en Turquie du régime Obama-Clinton, ce rapport conclut, elle est loin d'être la seule. Les Américains doivent maintenant réévaluer leur soutien à leurs «amis terroristes islamiques modérés » [1] :
après qu'ils aient décapité un enfant de 10 ans en Syrie et posté une vidéo pour que le monde entier voit leur « exploit » ; 
- et après que  trois officiers militaires français aient été tués en Libye (État défaillant créé par les USA) car leur hélicoptère a été abattu par des terroristes islamistes en dehors de Benghazi, 
- et que l’État fantoche américain de l'Ukraine est en train de devenir une "fosse commune" pour les journalistes, après la mort  du journaliste très estimé, Pavel Sheremet plus tôt aujourd'hui, sous les bombardements ukrainiens.

Source : http://www.whatdoesitmean.com/index2075.htm


[1] Les «rebelles modérés» du Harakat Nour al-Din al-Zenki, soutenus par Les États-Unis ont capturé un enfant palestinien de 10 ans, l'accusant d'être un "espion" de la milice pro-gouvernementale palestinienne, Liwa al-Qods, et lui coupèrent la tête pour cela. L'événement s’est passé dans le camp de réfugiés "Handarat Camp" dans le nord d'Alep. Nour al-Din al-Zenki opère dans la région, près de la ville d'Alep et reçoit une aide financière des États-Unis, dans un programme  de la CIA pour soutenir les soi-disant "groupes de rebelles modérés "

Nour al-Din al-Zenki est affilié au commandement militaire suprême (SMC) de l'Armée Syrienne Libre (ASL), créée et soutenue à bouts de bras par l'Occident (surtout la France et les USA). Elle constitue une partie majeure des unités de l’ASL, et collabore avec divers groupes djihadistes, y compris la filiale d'Al-Qaïda en Syrie, Al Nosra.

Le porte-parole adjoint du département d'État, Mark Toner, a déclaré aux journalistes, lors d'un briefing quotidien mardi, que les États-Unis pourraient revoir l'aide au groupe si les rapports du garçon décapités sont confirmés. Toner a refusé de fournir des informations sur la réaction des États-Unis face à cet horrible crime.
111
les djihadosionistes heureux, sur leur pick-up,
de porter le gosse vers son égorgement

Pendant ce temps, les frappes aériennes de la coalition menée par les USA auraient tué environ 60 civils dans le village de Tokhar près de Manbij en Syrie. Divers rapports indiquent plutôt un nombre de 56 à 120 morts civiles, y compris les enfants, à la suite des frappes aériennes américaines. Lundi, 21 civils ont été tués dans des frappes aériennes de la coalition américaine sur Hazawneh au nord de Manbij. La coalition, qui a fourni un appui aérien aux opérations militaires kurdes à Manbij, n'a pas encore fourni de commentaires. Toutefois, si commentaires il y aura, ils vont appeler ces faits des dommages collatéraux, ou des erreurs à oublier, comme ils l’ont fait après avoir bombardé l’hôpital de Médecins Sans Frontières à Kunduz, en Afghanistan.



Hannibal GENSERIC