mardi 26 juillet 2016

Poutine prend le parti de Trump, et autorise la publication de tous les e-mails d’Hillary Clinton

Un rapport sensationnel Conseil de sécurité (SC) russe, circulant dans le Kremlin d'aujourd'hui 25/7/2016, dit que le président Poutine a mis fin à la "guerre des mots" entre le directeur du Service fédéral de sécurité (FSB) Alexander Bortnikov et la présidente du Conseil de la Fédération, Valentina Matviyenko, sur les questions relatives aux e-mails confidentiels et « top secret » de l'ancienne secrétaire d'État américaine, et candidate à la présidence actuelle, Hillary Clinton. En effet, il a ordonné leur publication intégrale et il a ordonné à tous les ministères de l'État russe de soutenir le milliardaire américain Donald Trump contre Hillary Clinton.
Selon ce rapport, et comme nous l'avions signalé dans notre article du 6 mai Guerre au  lutte féroce au Kremlin concernant la publication des courriels Top Secret d’Hillary Clinton, un intense débat du Conseil de sécurité de Russie avait éclaté l'année concernant l’attitude adéquate à prendre concernant les emails d’Hillary Clinton. Le directeur du FSB Bortnikov préconisant de les garder secrets, pour servir dans le futur comme moyen de chantage sur Hillary Clinton si elle devient présidente des États-Unis, alors que la présidente Matvienko faisant valoir qu'ils devraient être libérés au public pour assurer l'élection de Donald Trump.
 
Il convient de rappeler que les dizaines de milliers d'e-mails Hillary Clinton possédés par le Service de renseignement extérieur (SVR), ont  été obtenus, en 2011, lorsque les experts informatiques du renseignement du SVR ont découvert qu'un pirate informatique roumain nommé Marcel Lazăr Lehel (aka Guccifer [1]) a tenté de pénétrer dans le système informatique de la télévision publique RT.
En surveillant Guccifer, le SVR a pu découvrir que Guccifer avait pénétré dans le serveur de messagerie de l'ordinateur privé d’Hillary Clinton (qui contredisait les lois US relatives à l'utilisation et la possession de documents électroniques top secret).
Après avoir pénétré dans le serveur informatique privé d'Hillary Clinton et obtenu tous ses e-mails, le SVR a ensuite été en mesure de découvrir les codes  secrets à d'autres serveurs du gouvernement américain, y compris celui du système appartenant au Parti Démocrate de Clinton .
La Présidente Matvienko a autorisé le SVR à laisser sortir  l'un des e-mails d’Hillary Clinton avec la conviction que cela allait la forcer à démissionner, et RT en a parlé le 20 Mars 2013 dans un article intitulé Les emails de Benghazi d’Hillary Clinton: Publication complète.
 
Mais malheureusement, la plupart des médias de la propagande dominante des États-Unis ont évité d’informer le peuple américain que la Russie détient des e-mails d’Hillary Clinton. En représailles, la Clinton a financé un coup d'État contre le gouvernement démocratiquement élu de l'Ukraine l’année suivante, et que George Friedman, le fondateur et PDG de Stratfor, la «  CIA  bis», a appelé« le coup d'État le plus flagrant de l'Histoire ».
Pire encore, ce rapport continue, une fois qu’Hillary Clinton a détruit le gouvernement démocratiquement élu de l'Ukraine, elle a ensuite installé pour gouverner cette nation un gouvernement néo-nazi en ne laissant à la Fédération de Russie d'autre choix que de sauver la vie de ses citoyens russophones qui se faisaient massacrer . En rétorsion, et comme  prévisible, Hillary Clinton se précipita alors pour imposer des sanctions contre la Russie.
Devant tous les efforts "normaux" de l'État qui n’ont pas pu arrêter Hillary Clinton, ce rapport dit, le président Poutine notifia, le 13 mai de cette année, à ses commandants militaires que si Hillary est élue présidente des États-Unis, c’est la guerre.
Puis, le 1er Juin, dans une tentative finale pour faire dérailler ses ambitions, Poutine a autorisé une autre publication de l'un de ses courriels prouvant de manière concluante qu'elle avait délibérément violé les lois des États-Unis et que nous avons signalé dans notre rapport intitulé Poutine ordonne la publication du courriel le plus dangereux du Monde. A peine un mois après, le 5 Juillet, le directeur du FBI James Comey a donné une conférence de presse en disant qu'elle ne serait pas poursuivie pour les nombreux crimes qu'elle a commis contre son propre gouvernement et contre son peuple.
La Fédération est maintenant en face du choix de la guerre si Hillary Clinton est élue présidente des États-Unis, ou de la paix si c’est Donald Trump. Le président Poutine a discuté, cette dernière quinzaine,  avec Carter Page, le conseiller de Trump en politique étrangère, et avec le directeur de campagne de Trump, Paul Manafort sur la manière d'aller encore plus loin avec ces emails.
Rappelons que Paul Manafort et Carter page ont des liens de longue date avec la Fédération. Manafort a été un proche collaborateur du Président de l'Ukraine Viktor Yanukovych  (qui a été déposé par le  coup d’état par des néo-nazis d’Hillary Clinton), et Page, à part le fait d’être l'un des meilleurs esprits militaires de l'Amérique, a des relations d'affaires de longue date avec les entreprises et les politiciens de l'État russe. Lors de ces derniers jours, Page a  accusé les puissances occidentales d'approcher la Russie et les pays d'Asie centrale avec un «ton presque universellement critique » en dépit de leurs «progrès», .
La décision du président Poutine d’aider Trump à battre Clinton devient donc une affaire de haut niveau pour la sécurité nationale russe. Il a donc décidé de faire publier par Wikileaks tous les e-mails d’Hillary Clinton, contenant des révélations des plus étonnantes.

Wikileaks lance la bombe des emails d’Hillary qui pourraient mettre fin à sa campagne, mais Face Book les censure

Il faut noter que ce rapport du Conseil de sécurité contient des objections vigoureuses à la fois de la part du FSB et du  SVR à l'ordre du président Poutine de libérer tous les e-mails d’Hillary Clinton par Wikileaks, en notant que la propagande occidentale et les organisations de presse fidèles au régime Obama vont maintenant se concentrer sur la Russie, et non sur Hillary Clinton.
Cela semble déjà justifiée par des titres qui apparaissent en Amérique, comme:
Ce rapport conclut, en notant que la décision du président Poutine ne repose pas uniquement sur les e-mails d’Hillary Clinton, mais aussi sur les implications « de l'État profond» derrière l’élection présidentielle actuelle des États-Unis, et dont nous avons parlé dans notre rapport du 28 Février Les Francs-maçons conduits par Donald Trump préparent un coup d’état.

[1]  "Guccifer le hacker" sème la zizanie en Amérique, en Russie et entre les deux !!

Source : http://www.whatdoesitmean.com/index2078.htm 
Traduction : Hannibal GENSERIC

Trump Kremlin: les liaisons dangereuses?

Le candidat républicain Donald Trump s'est exprimé sur ses liens avec Moscou suite au scandale lié à la fuite des courriels du Parti démocrate aux Etats-Unis.
Un scandale a éclaté autour de la publication par Wikileaks de 19.252 messages électroniques du Comité national du Parti démocrate des Etats-Unis. Ces courriels révèlent que, lors de la bataille des primaires, les instances dirigeantes des démocrates soutenaient ouvertement Hillary Clinton au détriment de l'autre candidat démocrate, Bernie Sanders, qui a finalement perdu.
Les Etats-Unis prétendent que les agents du Kremlin, omniprésents et capables de tout, auraient pu se cacher derrière la fuite des courriels et des documents du serveur du Comité national du Parti démocrate des Etats-Unis. Qui plus est, toujours d'après les démocrates, les Russes auraient fait cela afin de soutenir le candidat républicain Donald Trump.
Pourtant, Donald Trump vient de s'exprimer en personne au sujet de ces accusations, affirmant que le Parti démocrate cherchait ainsi à jeter de la poudre aux yeux afin de faire oublier son rôle malhonnête dans l'affaire.
"Afin de tenter de détourner l'attention de cette catastrophe terrible et stupide avec WikiLeaks, les démocrates disent que, peut-être, la Russie et Trump s'en sont mêlés. C'est de la folie!", a commenté le candidat sur son compte Twitter.
​Trump a également nié le fait qu'il aurait pu avoir des intérêts financiers en Russie.
"Je tiens à déclarer officiellement que je n'ai  aucun investissement en Russie", a-t-il assuré.
Le Kremlin estime que ces accusations sont totalement absurdes, a déclaré le porte-parole du président russe Dmitri Peskov. La publication de ces courriels a conduit la présidente de la convention démocrate, Debbie Wasserman Schultz, à démissionner et provoqué la colère de nombreux partisans de Bernie Sanders qui s'estiment floués.
 https://fr.sputniknews.com/international/201607271027025399-trump-russie-kremlin-courriers/