samedi 30 janvier 2016

Tunisie. EnnahDaech travaille pour la CIA

Samir Dilou est un agent attitré de Freedom House, une succursale bien connue de la CIA, qui a sponsorisé les fausses révolutions arabes afin de placer ses harkis islamistes au pouvoir et piller les pays arabes. Le même Dilou, prenant un taxi aujourd'hui à Tunis, a refusé de le payer une fois arrivé à destination, arguant du fait qu'étant député de la Nation, le taxi n'a pas à lui réclamer le montant de la course. Telle est la mentalité de l'islamiste de base : vol et racket, au nom d'Allah. Voici le document publié par Freedom House qui confirme ce que l'on savait depuis toujours.

WCL EVENTS
1. "THE CHALLENGES OF HUMAN RIGHTS ACTIVISM IN TUNISIA," FEATURING: SAMIR DILOU, TUNISIAN HUMAN RIGHTS ACTIVIST
Tuesday, November 28, 1:30pm to 3:00pm, WCL Rm. 500
Join us for a discussion with Samir Dilou, a human rights activist from Tunisia, who will discuss his experience as a political prisoner as well as his current activism in the human rights field. Mr. Dilou was a political prisoner for 10 years, 2 months and 8 days in Tunisia. An outspoken but nonviolent young activist, he was put in prison for being a leader of the student union at his university. While in prison from 1991-2001, he co
ordinated and participated in hunger strikes to protest the inhumane conditions within Tunisian prisons, which often resulted in him being placedin isolation and tortured. After his release, Mr. Dilou continued his struggle for human rights with the International Association for the Support of Political Prisoners in Tunisia and Vérité-Action in
Switzerland. Acknowledging the value of Mr.Dilou's work, the international organization
Freedom House invited him to be a Visiting Fellow in the United States as part of the New Generation of Advocates Program. This event is co-sponsored by the Arab Law Students Association, the American-Arab Anti-Discrimination Committee, and the Center for Human Rights. For more information, please contact alsa@wcl.american.edu
.
 https://www.wcl.american.edu/humright/center/ListservNov21.pdf.pdf

Les investissements directs de George Soros dans Human Rights Watch se sont chiffrés à environ 100 millions de dollars depuis 2010. Ils visent à déstabiliser des régimes, selon des experts américains.

Le milliardaire George Soros, qui est depuis des années le principal sponsor de Human Rights Watch (HRW), utilise les ONG qu'il finance pour promouvoir ses intérêts économiques, politiques et culturels, estiment des experts américains.
"Toute organisation à but non lucratif qui accepte des contributions volontaires peut être soumise à l'influence de ses sponsors. HRW ne diffère pas des autres organisations à but non lucratif", a indiqué à Sputnik le directeur du Centre de la paix et de la liberté de l'Institut indépendant (Etats-Unis) Ivan Eland.
"Le soutien de M. Soros en matière de légalisation des drogues est une partie de sa notion folle de "société ouverte", il utilise son large réseau d'ONG pour déstabiliser les régimes qui, selon lui, sont en contradiction avec la "société ouverte" libérale de l'Occident", a déclaré M. Steinberg.
"Toutes ses œuvres de charité, ce sont des révolutions colorées, le renversement de régimes et la culture des drogues", met en garde le politologue. C'est bien ce que l'on a constaté en Tunisie : les trafics de drogues, d'êtres humains, d'armes, d'essence, etc. ont explosé depuis janvier 2011. Qui en profite en premier lieu ? Les réseaux mafieux islamistes qui gangrènent la police, la justice et toute l'administration. Comme ils tiennent BCE par les menaces de déstabilisation et de "révolution" , aucune réforme sérieuse ne peut être accomplie, aucune décontamination de l'Administration n'est faite. Les 350.000 "fonctionnaires" placés par Ennahdaech pour miner le système sont toujours en place. Pire : on est en train de les renforcer.
Les investissements directs de George Soros dans Human Rights Watch se sont chiffrés à environ 100 millions de dollars depuis 2010.
Son QG se trouve aux Etats-Unis.
Les ONG créées par George Soros, à savoir Open Society et Assistance, ont été jugées "indésirables en Russie" par une décision de la justice russe en novembre 2015.
En Tunisie, elles sont les bienvenues.
Hannibal GENSERIC

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