vendredi 7 novembre 2014

FRANCE : la mafia juive opère impunément

La presse officielle vient de mentionner brièvement de gigantesques affaires d’escroquerie. Noyées au milieu des autres « infos », ces scandales passent pour n’être que de banals faits divers… sauf que le montant cumulé des arnaques se monte à plusieurs milliards d’euros. Quand même ! Encore plus stupéfiant : ces escroqueries n’ont absolument rien de nouveau dans leur mode opératoire ! Hervé Ryssen vient de les détailler par le menu dans son dernier livre : Les Milliards d’Israël.  


Le Point-Point-fr relaye une dépêche AFP… relayée par Le Parisien (vive le copier-coller dans les salles de rédaction) et nous « informe » ainsi :
Le groupe Michelin a été sollicité par une personne se présentant comme le directeur financier d’un ses fournisseurs. Celle-ci a alors demandé à ce que les règlements destinés à sa société soient effectués sur le compte d’une banque en République tchèque […]
Selon l’Office central pour la répression de la grande délinquance, quelques 700 faits ou tentatives ont ainsi été recensés entre 2010 et 2014. Le cabinet KPMG (audits et expertises comptables) par exemple avait révélé cette année en avoir été victime pour un préjudice de 7,6 millions d’euros.
Plus d’un million par-ci, plus de 7 millions par-là… Mais où est passé le pognon ?
Humour : il serait question de la République tchèque.
Dans l’affaire de Naf-Naf, ce serait plutôt… la Pologne : 300 millions € !
Cahuzac est décidément un minable… et pourtant les médias ne nous ont parlé que de lui et pas du reste.
Étrange ? En fait non… quand on a compris que le rôle de la presse subventionnée n’est pas d’informer mais d’enfumer.
Stéphane Sellami, le journaliste du Parisien spécialiste de ce genre d’affaires, est un cas d’école ; pour mémoire, bien que défendu par l’excellentissime Me Basile Ader, il fut condamné pour recel de violation du secret de l’instruction dans une affaire de diffusion frauduleuse d’un portrait-robot de violeur… diffusion qui avait entravé l’enquête en cours. Oups !
Dans la présente affaire, ce modèle de déontologie se garde bien de rappeler ce qu’il écrivait lui-même en avril 2011:
Une fois sur dix, l’arnaque fonctionne et on découvre que l’argent transite par des comptes en Chine… avant de revenir en Israël, base arrière de la très grande majorité de ces fraudeurs d’un nouveau genre.
Il serait fort intéressant de comparer cette donnée avec l’identité des aigrefins en question, si toutefois la justice réussit à les identifier.
C’est ce que rappelle H. Ryssen : « Ce type d’arnaque est apparu en 2005, mais les plaintes se sont multipliées en 2011 […] Cette nouvelle forme d’escroquerie est dite des faux ordres de virement internationaux (Fovi) ».
Les contacts se font par téléphone et mail. La force du système tient à l’extrême connaissance de l’organisation de l’entreprise et même de la personnalité des dirigeants que parviennent à développer les escrocs.
Malgré la connaissance précise du mode opératoire, la police peine à agir en raison de la multiplicité des juridictions impliquées. La prévention est donc essentielle.[source]
Visiblement, pour ce qui est de la prévention, c’est raté !
Pourtant, aux vues de l’ampleur des vols (même l’Élysée a été visé !) la DCRI avait lancé des alertes aux entreprises:
Dans un note de la direction de la police judiciaire, on lit que 3 pays apparaissent régulièrement dans ces escroqueries : Israël, où des groupes criminels se sont spécialisés, la France comme pays où sont ciblés les entreprises, et la Chine comme lieu de destination première des virements… avant réorientation vers Israël.

p. 82
Rare sont les auteurs arrêtés et encore moins condamnés : une véritable impunité de fait.
Impunité qui, en revanche, ne bénéficie pas à d’autres personnes, loin s’en faut : lien.

La nouvelle « Jewish connection »

Challenges de mai 2012 note que ces escrocs de haut vol sont nombreux à avoir échappé à la justice en se réfugiant à Tel-Aviv ou Netanya, station balnéaire très appréciée des « Franco-Israéliens »
Parfaite illustration de ce qu’Hervé Ryssen évoque pour le cas de Gilbert Chikli, précurseur de ce type de fraude, qui avait réussi à escroquer plusieurs banques françaises en se faisant passer pour un agent secret (!)
Outre le vol en lui-même, ce genre d’arnaque provoque des dégâts humains, puisque le mode opératoire relève de l’ingénierie sociale : espionnage (notamment via les réseaux sociaux), manipulation, imposture téléphonique, harcèlement et chantage.
Un jeu sadique qui n’est pas sans rappeler les agissements de certains cybercriminels, de même que l’absence totale d’empathie pour les victimes :
« Je joue une scène qui apporte une certaine jouissance, une certain adrénaline », déclarait ainsi Gilbert Chikli sur France 2 en 2010.
Transmis au pigeon de Michelin qui peut d’ores et déjà prendre rendez-vous chez Pôle Emploi pour s’être ainsi laissé berner comme un goy

Autre arnaque relatée ces derniers jours : l’escroquerie à la TVA


À garder en mémoire quand le gouvernement augmentera de nouveau la TVA
Paule Gonzales, dans les colonnes du Figaro :
Au bas mot, estime Jean-Yves Minet, secrétaire général de l’UNSA Douanes, l’escroquerie à la TVA représenterait jusqu’à 15 milliards d’€ par an qui sont injustement remis à des bandes criminelles.
Pour Taubira, c’est seulement une « affaire de gros sous »
II y a un an, un amendement porté par la garde des Sceaux et visant à supprimer ce même dispositif d’enquête avait mis en émoi douanes et forces de police.
Lors des débats parlementaires, Christiane Taubira avait balayé la question de l’escroquerie en bande organisée en affirmant que ce n’était jamais qu’une affaire de gros sous. Enfin et surtout, cette dernière n’a jamais été criminalisée et reste cantonnée à la case délit. Ses auteurs ne risquent au maximum que dix ans de prison et une amende d’un million d’euros. En bon chef d’entreprise, les auteurs de grands délits financiers ont tôt fait d’en calculer le rendement avantageux.
Et là encore, c’est Ryssen qui s’y colle car c’est précisément avec ce type d’arnaque que débute son livre : affaire Avi Rebibo, affaire Rubens Lévy, fraude à la taxe carbone

Des milliards perdu ? Pas pour tout le monde !

À plusieurs reprises, l’auteur, visiblement peu lu dans les rédactions subventionnées, prend soin de préciser que tous les escrocs ne sont pas « franco-israéliens ».
C’est vrai, mais l’ampleur des sommes détournées vers « la seule démocratie » (sic) du Proche-Orient, ce « miracle »  comme disait Sarközy, ne peut nullement être comparée au black que peut faire en douce le premier gérant de kebab venu…
Bref : pour être véritablement informé des grandes truanderies de notre temps, sans oublier celles de la Haute Finance, Les Milliards d’Israël est un ouvrage indispensable.
• Disponible ici : Les Milliards d’Israël
• Note : Hervé Ryssen sera en conférence à Paris le 8 novembre [info]
Mise à Jour (05/11/2014)
Exploit du Figaro.fr qui a réussi à pondre un article sur les Arnaques aux faux ordres de virements internationaux (Fovi)… sans jamais mentionner Israël !
Seule la Chine est désignée coupable… Mazal Tov !
Bref : du vrai travail d’investigation qui a dû faire plaisir en haut lieu.

La Mafia Juive

Lorsqu'on évoque la mafia, c'est d'abord à l'univers de la Sicile que l'on pense en premier lieu. Tout le monde a entendu parler de la mafia sicilienne : c'est la plus médiatisée, celle que l'on voit le plus au cinéma. Au début des années 1990, après l'effondrement de l'Union soviétique, on nous parlait aussi régulièrement de la mafia russe, de mafia tchétchène et de mafia albanaise. La mafia juive, elle, n'existe pas : les médias occidentaux n'en parlent pas. À la radio, à la télévision et dans la grande presse, le silence est total sur cette question. C'est un sujet tabou. À Hollywood, pareillement, la judéité des criminels et des trafiquants n'apparaît presque jamais ; et il n'est guère difficile de comprendre pourquoi. La mafia juive est pourtant sans aucun doute la mafia la plus puissante du monde. La plus dangereuse aussi. Quelques journalistes trop curieux ont déjà été assassinés.