samedi 26 juillet 2014

Psychanalyse du Juif, mon témoignage, par Chantal Dupille

Mes influences sont multiples. Père bordelais catholique, mère russe juive avec quelques parents orthodoxes, moi-même je suis devenue par hasard protestante (pour mieux protester !), amie préférée Palestinienne Musulmane (son père, enseignant en fac, a conduit toute sa famille au Maroc).


 
cy Madame Dupille Raïssa maman avec chapeau
Ma mère, Raïssa
Ossipovna Haletzkaya
Mon éducation a été traditionnelle, catholique, Paroisse St Honoré d'Eylau à Paris, et j'ai même été scolarisée un an au Couvent des Urselines à Neuilly (Classe Primaire). Presque une moitié de mes camarades d'école était, par ex au Lycée Lafontaine ou Molière comme au Cours Hattemer (Annie Weber...), d'origine juive. Et mes voisins aussi. C'est ainsi que ma copine Chantal Nathan m'a entraînée le samedi soir, danser à la synagogue de Neuilly, la seule "tolérant" les Non Juifs (sic !). Je ne me posais pas de questions, à vingt ans je voulais danser, et j'y allais avec ma voisine, point. Un jour, ma mère, Raïssa Ossipovna Haletzkaya, m'a dit : "Tu es toujours avec des Juifs !". Je lui ai répondu : "Il y en a plein. Juif ou autre chose, c'est pareil, je ne vois pas la différence, je prends ce qui vient !". Et elle a ajouté : "Mon père était Juif, et ma mère aussi mais avec juste certains parents russes de confession orthodoxe". On n'en a jamais reparlé ! Et à la fin de sa vie, elle est devenue chrétienne évangélique, après avoir "rencontré" Christ, comme moi.

 

Et ce fut tout ! Mais il y a un peu plus de trois ans, toute la famille s'est retrouvée, on a vu des diapos, et à la fin, mon neveu m'a dit : "Au fait, toute la famille de grand-mère est allée vivre en Israël". Ah, ça alors ! Quoi, dans ce pays de merde ? "Moi, jamais je n'y mettrai les pieds, quelle horreur" !  Et ce fut tout. Mais j'étais écoeurée. Comment peut-on choisir de vivre dans un pays où à peine né, on apprend à tuer et à haïr ?

 

Entre temps, j'ai rencontré voici une quinzaine d'années, à Marseille, une Juive dans l'immobilier (je cherchais un local pour accueillir des personnes en difficulté). En discutant, je lui ai dit : "Je vous fais confiance, Madame, vous êtes Juive, les Juifs doivent avoir des principes, n'est-ce pas ?". Elle a ricané : "Vous avez tort, les Juifs sont les plus grands voleurs de la terre". J'étais choquée. Cela s'est passé Place du Panier. Puis il y a eu l'Intifada, Plomb durci... et j'ai épousé la cause palestinienne, celle du faible contre le puissant, comme d'habitude. Et peu à peu, j'ai repensé au profil de ma mère....

 

J'ai l'habitude de dire, avec les Juifs, "il y a le pire et le meilleur". Mais en réfléchissant, pour un Jacob Cohen, un Roni Brauman ou un Stéphane Hessel, combien de sionistes acharnés et arrogants ? Et plus je découvrais les faits et gestes comme la mentalité de cette Commnauté, plus je reconnaissais ma mère, bien que celle-ci n'eut jamais fait état de sa judéité, et pour cause, puisqu'elle a rencontré mon père avant les événements de 39-44. Et il valait mieux, alors, ne pas la claironner ! Qu'y avait-il alors dans sa tête, je ne sais pas. Elle était follement amoureuse de mon père, et elle a "épousé" son catholicisme. C'était d'ailleurs la prudence même ! 

 

En me plongeant de plus en plus dans l'actualité et surtout ses coulisses, en fouillant les événements avec toujours plus de curiosité, j'ai réalisé qu'au coeur de tout, il y avait le sionisme international, une doctrine horriblement intolérante, haineuse, raciste, arrogante, dominatrice, prédatrice. Et qui asphyxiait la planète, avec ses monstres à la tête de la Haute Finance assassine, des multinationales voraces, des médias de propagande, et j'en passe. Comment disait De Gaulle, déjà ? "Un peuple fier et dominateur". La suite, on la connaît : Une grande partie de l'humanité est sacrifiée à la cupidité des adorateurs du Veau d'Or, via génocides, rackets, attentats commandités, assassinats ciblés, fausses Révolutions de couleurs, chaos, conflits en tous genres, guerres civiles et même mondiales... Cette mafia spécifiquement juive est très certainement le CANCER de l'humanité, une verrue à la face du monde. Je viens de voir que des soldats ukrainiens sont vendus dans le cadre du trafic d'organes, et c'est justement une spécialité juteuse de cette effroyable Communauté.

 

Donc, j'ai fini par repenser à ma mère, je me suis posée des questions. Car après tout, j'ai eu à côté de moi pendant vingt-cinq ans un spécimen de ce soi-disant "peuple élu", "race supérieure", appelé à "tout dominer" et même à "exterminer les Goyim" ou à les "mettre en esclavage". Et des pans entiers de mon enfance me sont revenus....

 

Ma mère était tout simplement invivable ! INVIVABLE ! Une âme bien trempée, certes, mais qui tyrannisait tout le monde, surtout mon père et moi, bonnes poires (ma soeur a le même tempérament qu'elle, et le physique de papa, blond, tandis que j'ai hérité du caractère de papa et de la physionomie de maman). On ne pouvait pas respirer ! Tout était décidé par elle. Ainsi, mon père, doux comme un agneau, n'a jamais pu avoir une télévision car Madame avait décidé qu'il ne devait pas y en avoir. Comment a-t-il pu supporter un tyran de tous les instants ? Il endurait tout sans se plaindre. Et l'arrogance, l'arrogance ! Une horreur ! "Tout, disait-elle, appartenait à ma famille, dans la région, même le cinéma muet qu'on venait d'y installer en 1917" (elle a quitté la Russie à ce moment-là). "Ma mère est morte d'une pneumonie en visitant SES pauvres, en leur distribuant des vêtements". Ainsi, tout lui appartenait, même les pauvres ! Fichtre ! Et celle-ci : "Une personne bien née peut TOUT SE PERMETTRE, même dire merde, avec panache !". Je t'en foutrais, moi, du panache !

 

Dominatrice, tyrannique, arrogante.. était-ce tout ? Non, le pire était derrière ! Un tempérament IMPLACABLE, incapable du MOINDRE sentiment, de la moindre pitié, compassion ! Je citerais juste un exemple qui m'a traumatisée. J'avais environ quinze ans, et nous passions le week-end en bord de mer, à Houlgate. La maison avait un étage, sans ascenseur. Et nous avions un très vieux petit chien. Voyant qu'il peinait à monter lui qui était habitué aux ascenseurs, je l'ai pris dans les bras pour le porter. "Arrête ! Laisse-le monter seul ! C'est marche ou crève !". Eh bien... il est monté seul, et il a crevé. J'ai beaucoup pleuré. Quant à mon père si doux et si faible, il n'était pas intervenu, habitué à ne jamais pouvoir prendre la moindre liberté. La mama juive, l'épouse juive !

 

Et quand je regarde, quand j'écoute, je me dis qu'il y a partout la même insensibilité à la douleur d'autrui, la même dureté, et que ce monde tant dessiné par cette Communauté particulière, est vraiment atroce. Arrogance, domination, intolérance, tyrannie, insensibilité... Et ce sont ces gens-là qui veulent mettre en place le Nouvel Ordre Mondial ? Mais quelle horreur, sauve-qui-peut !

 

Alors oui, je le dis solennellement : Le combat de nos frères et soeurs palestiniens est le nôtre. Pleinement. Car s'ils succombent, alors nous succomberons avec eux. Forts de leur impunité, des monstres à visage humain enchaîneront demain la planète entière avec le Nouvel Ordre Mondial à leur image. Implacable, arrogant, tyrannique.

 

Barbare, tout simplement.

 

Il nous reste peu de temps pour échapper à l'horreur programmée pour tous par ces êtres inhumains, malfaisants.

 

Chantal Dupille
http://chantaldupille.over-blog.com/article-solution-finale-pour-les-palestiniens-psychanalyse-du-juif-mon-temoignage-124232242.html 


Commentaire  israel-sionisme-begin.jpg 

Commentaire : Parlez-vous israélien ? (Trêve de plaisanterie)

O joie, voici que la presse (Le Figaro), en ce 26 juillet 2014, titre "Israël - Hamas : une trêve est entrée en vigueur" . Notez que le titre mentionne Israël (un Etat) et le Hamas (une organisation). Gaza sera contente d’apprendre qu’elle n’a jamais été concernée.
Mais la joie initiale est calmée par une phrase placée de façon anodine à la fin de l’article. La voici :
« l’armée (israélienne) a prévenu qu’elle poursuivrait ses opérations au sol durant la trêve de samedi. » !!!

Le parler israélien - comment décrire une chose avec des mots qui signifient le contraire - est tellement gros que les journalistes n’y font plus attention, tellement ils sont occupés à servir la soupe.